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Les génies du mal, le reportage glaçant

  • Photo du rédacteur: limolade
    limolade
  • 16 avr. 2022
  • 2 min de lecture








La mini-série, paru en 2018, se compose de quatre épisodes d'environ 50 minutes chacun.









Le documentaire policier se découpe en quatre parties : le braquage, le corps congelé, les suspects et les confessions.

Cette histoire de crime réel débute par l'horrible mort d'un livreur de pizza braquant une banque avec une bombe autour du cou. A partir de là, tout devient étrange.

L'affaire débute en 2003, lorsque Brian Wells, un livreur de pizza, braque une banque de Pennsylvanie avec une bombe attaché au cou. Il sera rapidement encerclé par la police quand la bombe finira par exploser pour finalement le tuer. Le FBI s’intéressera à l'histoire en se demandant pourquoi braquer une banque avec une bombe dont on ne peut pas défaire. Une enquête commencera donc pour déterminer s'il s’agit d'un suicide ou d'un plan machiavélique.



Trey Borzillieri, réalisateur de la série, a travaillé sur le documentaire durant 15 années. C'est seulement un mois après le braquage que Trey Borzillieri a décidé de s’intéresser à ce cas surprenant. Une histoire qui a duré longtemps, puisque le producteur est même allé jusqu’à entretenir une correspondance avec Marjorie Diehl-Armstrong.

La scène du premier épisode est décrite comme choquante par de nombreux spectateurs. En effet, on y voit Brian Wells, effrayé, prévenir la police que la bombe qu’il porte va exploser.

Barbara Schroeder, ayant travaillé sur le projet, explique au média Thrillist : « Cette scène a été gardée pour une raison très précise. Nous sommes conscient que la famille de Brian Wells va regarder ce documentaire, nous ne voulions donc pas qu’une telle scène soit utilisée gratuitement. Pour nous, c’était avant tout très important de montrer à quel point l’acte que cet homme a vécu est odieux. C’est une victime et il y longtemps eu des doutes à ce sujet. Cette personne a été exécutée publiquement et personne n’a été accusée du meurtre »


Le réalisateur est allé jusqu'à rencontré Marjorie Diehl-Armstrong chez elle : « Elle était effrayante. Elle était fascinante. Elle était dark et dynamique à la fois. Plus j’ai commencé à la connaître, plus elle était ouverte, ça a donc été facile d’entretenir une relation de confiance » Si le docu-série se termine sur quelques questions, Marjorie Diehl-Armstrong étant suffisamment tenace pour ne jamais avoir rien avoué, les deux réalisateurs sont formels : elle est derrière le braquage, la mort de Brian Wells, le décès suspect par overdose d’un proche de Brian et la mort de ses trois ex. Une veuve noire ? Le mot est faible.


Sources : <lien>

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